« J’ai commencé une licence STAPS, ça ne me plaisait pas. Je ne savais pas ce que je voulais faire jusqu’à ce que mon père me montre son métier de soudeur. J’ai tout de suite aimé […]. J’ai démarré mon apprentissage pour un titre pro. Les entretiens prenaient en compte la motivation et non le CV, sans quoi je n’aurais peut-être pas été retenu […]. C’est un métier en tension. Quand on est très bon, le salaire est très intéressant, mais cela prend des années. »